Potez 25 "Escorte rapprochée"

Bonjour à tous,

Encore un Potez 25 ! Mais comme je l'avais dit dans mon post relatif au précédent "le prochain sera plus grand" !
Celui-ci sera probablement le dernier (sauf si...)



Le plus pénible fut la peinture des haubans, une vrai galère à peindre à main levée !
Surtout ceux qui sont doublés, pour lesquels il faut respecter le parallélisme car le moindre écart saute aux yeux !

Sinon, comme d'habitude, huile sur toile (format 81 x 60)

Amicalement

Bernard

Ben, moi je dis que, comme d'habitude, tu t'en es tiré "haut la main" !
Voila encore une belle toile, très poétique malgré la machine !
J'en attrape de plus en plus de complexes quand je pense que c'est fait à la peinture à l'huile, y compris ces fameux haubans !

Encore une fois : CHAPEAU !

Raymond

trop beau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

je ne saurais pas quoi dire de plus ..........

Mille bravos Bernard !

Dilou.

Encore du très grand Bernard!
Tu nous montre là une très belle rencontre entre ces oiseaux. Reste à savoir si le petit échappera à l'hélice du gros

Deux magnifique oiseaux pleins de majestés.
Bravo pour cette réalisation.

Merci à vous
"Mcgee", le petit n'est pas si petit que ça et par rapport aux tailles relatives des deux "oiseaux", il est bien sur la droite de l'avion et de son... "hachoir" ! Donc pas de soucis pour lui

Bernard

Super beau, tout dans des tons froids, on grelotte! Le condor doit se demander à quelle espèce inconnue appartient cet oiseau blanc, et surtout si c'est comestible! jy

bon je le dis encore mais pour moi c'est toujours aussi bien travaillé,le paysage toujours top et l'ensemble

Quel ravissement !

Merci Bernard pour cette nouvelle toile !

Ah bah tiens ! je pars qq jours et voilà mon Bernard qui nous sort un chef d'oeuvre !
que dire de plus que mes petits camarades...

J'ai hate de te croiser à la ferté pour te dire combien j'admire ton travail...

V.

Vincent a écrit:

J'ai hate de te croiser à la ferté pour te dire combien j'admire ton travail...

Tout pareil !

t'as dû effectivement t'amuser avec les haubans !

jolie toile, bravo !

Merci à vous pour vos avis et compliments
Plaisir de vous rencontrer à la Ferté absolument partagé

Bernard

Cette rencontre entre oiseau et avion est une bonne idée, qui évoque les marines, je pense à celles de Somerscales qui a peint souvent des oiseaux volant près de ses bateaux.

Pour peindre les haubans, j'utilise une règle (mais je peins à l'acrylique). Je ne trace pas la totalité du câble, pour suggérer la finesse. Lengellé peignait les câbles de façon très relâchée et pas en entier, je trouve que ça marche plutôt bien.

Par exemple : https://2img.net/r/ihimizer/img3/6430/fonck.jpg

Je suis autant bluffé par le travail de l'avion que celui de la montagne… Chapeau bas !!!

Merci à vous pour vos sympathiques retours ,

Stéphane, pour les haubans, je les "trace" (le plus légèrement possible) au crayon lorsque la peinture de l'avion et du décor est suffisamment sèche.
Ensuite, avec un pinceau très fin et à poils longs, je suis ce guide en essayant de ne pas trop "trembloter".
Et puis, pour suggérer la finesse et donner une certaine légèreté à tous ces... "bouts de ficelles", je reprends par ci par là avec des portions de couleurs claires.
Comme on peut le voir sur la vue de détail de l'avion.
Mais je ne trace entièrement que sur des avions peints à très "grande échelle", comme ce "Potez" (ou les "Voisin" au-dessus du champ d'aviation de "Malzéville").
Pour des avions plus "petits", je ne trace pas d'un bout à l'autre. Dans ce cas, le haubanage n'est que suggéré.
Paul Lengellé à une technique extraordinaire, avec une touche dynamique et d'une grande spontanéité, que j'admire.



Olivier, la montagne est peinte avec une touche assez "rapide" si je puis dire. Moins "travaillée" que l'avion comme tu peux le voir sur le zoom ci-dessous.
Mais visuellement, disons à distance normale de la toile (sans avoir le nez dessus) l'ensemble donne l'impression d'être peint avec plus de précision.



Amicalement

Bernard

Belle leçon de peinture que tu viens de nous donner là !

Raymond

Merci Raymond, mais tu sais, je n'ai pas cette prétention
On a tous à apprendre les uns des autres

Amicalement

Bernard